Philippe écrit
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Passant,
Passant, point trop ne me hais …tant je me hais moi-même.
Passant, point trop ne me méprise … tant je me méprise moi-même.
Passant, point trop ne me maudis .... tant ma naissance, je maudis moi-même.
Passant, accorde moi ton pardon car je ne me pardonnerai jamais.
Les absences font trop de bruit et m'empêchent de dormir.
Vivre avec ses fantômes et ses hontes, c’est déjà mourir.
Ami Ankou, vite vient me chercher,
Nous nous saoulerons dans une guinguette,
Puis le Wig A Wag de ta charrette,
Me bercera pour l'éternité.
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